Histoire de la Côte-du-Sud
Le rythme de la Cote du Sud et du Quad en Côte-du-Sud
La Côte-du-Sud est une région historique et culturelle regroupant les MRC de Bellechasse, de Montmagny et de L'Islet mais aussi de Kamouraska dans la région voisine du Bas-Saint-Laurent, elle compte plus de 75 000 habitants pour sa partie en Chaudière-Appalaches dont nous tiendrons compte seulement.
La Côte-du-Sud est une des premières régions à être colonisée au début de la Nouvelle-France. Effectivement, la première seigneurie sud-côtoise fut octroyée à Jean Pelletier à St-Roch-des-Aulnaies en 1656. Par la suite, d'autres colons s'établirent en Côte-du-Sud, portant à la fin du régime français la population à environ 10 000 habitants sur les 60 000 que comptait la Nouvelle-France. Pendant le xixe siècle, le manque de terre pour la populeuse Côte-du-Sud força les habitants à l'émigration. Avec l'avènement du chemin de fer, l'ouverture de nouvelles terres de colonisations (par exemple au Lac Saint-Jean au milieu du xixe siècle et en Abitibi vers les années 1930) fit que la région devint une terre d'émigration. De ce fait, la population cessa de croître et même diminua. Encore aujourd'hui, la région côtesudoise a un bilan migratoire négatif.
Vidéo sur les activités qui sont nombreuses sur la Côte-du-Sud de la région de Chaudière-Appalaches.
Vidéo de promotion pour le VTT en Côte-du-Sud de la Chaudière-Appalaches.
Les violons d'automne
Les Violons d’Automne, c’est un voyage musical aux quatre coins du monde pour célébrer le violon, les traditions qui y sont associées, le vaste répertoire musical de l’instrument et le talent des artistes qui le pratiquent. Au programme de l'événement annuel : spectacles, danse, gala du violon traditionnel, exposition de lutherie, activités pour la jeune relève et plus encore.
C'est par l'agriculture que s'est amorcé le développement économique du territoire de la MRC de l’Islet. La culture des céréales, le blé surtout, et celle du chanvre, semblent avoir été la principale source de revenus des habitants à l'origine. Le premier mouvement de colonisation, sous le régime français, de la fin du XVIIe au début du XVIIIe siècles, a pris naissance avec la concession de la seigneurie des Aulnaies en 1656, des seigneuries de Bonsecours, L'Islet-St-Jean, Port-Joli et du fief Rhéaume en 1677 ainsi que du fief Lessard en 1698. L'arrivée des Anglais en 1759 ralentira temporairement le développement économique de la région, dont les habitations seront presqu'entièrement détruites par le feu lors de la bataille menée par James Wolfe. Mais, durant plusieurs générations encore, l'exploitation agricole sera la clé de la relance économique.
Au tournant du xixe siècle, d'autres activités viennent contribuer au développement économique de la région. Il en est ainsi de l'exploitation de la chaux et de celle des riches terres glaises situées en bordure du fleuve, qui permettront la formation de quelques ateliers de potiers. Au xixe siècle, la région de L'Islet joue un rôle important dans le domaine de la navigation, puisqu'elle abrite des navigateurs réputés, tel le célèbre capitaine Joseph-Elzéar Bernier, explorateur des régions polaires. Elle accueille aussi la première Académie de marine de l'Amérique du Nord fondée à L'Islet en 1880. L'exploitation forestière constitue un apport économique important pour la région à partir du milieu du xixe siècle. Ainsi, en 1844, on ne dénombre pas moins de 58 moulins à scie et une fabrique de papier. L'agriculture demeure néanmoins, à cette époque, l'activité dominante.
Le patrimoine c'est un certain nombre de bâtiments de la MRC sont classés
"historiques" par le Ministère des affaires culturelles. Il s'agit de l'église Notre-Dame-de-Bonsecours, de la Salle des Habitants et de la Chapelle des Marins à L'Islet-sur-Mer, de l'église de Saint-Jean-Port-Joli ainsi que la Seigneurie des Aulnaies (avec le Manoir Dionne, le hangar et le petit trianon) de même que le moulin banal et la chapelle qui sont tous situés à Saint-Roch-des-Aulnaies. La chapelle de Bras d'Apic a également été classée par le ministère; elle abritait autrefois une classe au deuxième étage. Plusieurs autres sites et bâtiments d'intérêt régional, particulièrement concentrés le long de la route 132, ont été répertoriés par le macro-inventaire et la MRC de L'Islet. Certains éléments du patrimoine sont caractéristiques ou particulièrement répandus dans la MRC de L'Islet; parmi ceux-ci, on remarque les moulins à eau (9), les croix de chemins (45), les larmiers cintrés des maisons longues en bordure du fleuve.
La MRC de l’Islet fait aussi partie de la Côte-du-Sud qui est une des premières régions à être colonisée au début de la Nouvelle-France. Effectivement, la première seigneurie sud-côtoise fut octroyée à Jean Pelletier à St-Roch-des-Aulnaies en 1656. Par la suite, d'autres colons s'établirent en Côte-du-Sud, portant à la fin du régime français la population à environ 10 000 habitants sur les 60 000 que comptait la Nouvelle-France. Pendant le xixe siècle, le manque de terre pour la populeuse Côte-du-Sud força les habitants à l'émigration. Avec l'avènement du chemin de fer, l'ouverture de nouvelles terres de colonisations (par exemple au Lac Saint-Jean au milieu du xixe siècle et en Abitibi vers les années 1930) fit que la région devint une terre d'émigration. De ce fait, la population cessa de croître et même diminua. Encore aujourd'hui, la région côtesudoise a un bilan migratoire négatif.
Bâtir la région de l'Islet et découvrez la région
Située sur la Rive-Sud du fleuve Saint-Laurent, la Côte-du-Sud fait partie de la grande région touristique de Chaudière-Appalaches. Elle débute à seulement 35 minutes à l'est des ponts de Québec et s'étend, d'ouest en est, du village de Berthier-sur-Mer jusqu'à St-Roch-des-Aulnaies. Du nord au sud, la région s'étend du littoral jusqu'à la frontière américaine. La route panoramique de la 132, longeant le fleuve St-Laurent, traverse les villages de Berthier-sur-Mer, Montmagny, Cap-Saint-Ignace, L'Islet, Saint-Jean-Port-Joli et Saint-Roch-des-Aulnaies. Plusieurs routes, villages fleuris et attraits à découvrir.
Découvrez la région de L'Islet
Voyez la région, attrayante hiver comme été, avec ses fiertés régionales, ses emplois, ses villages et surtout, sa population! Ce vidéo, c’est 180 secondes pour conter la région et 180 secondes pour la choisir!
L'Islet show car et un foyer autonome en énergie
Le Club Mustang à L'Islet Show car.
Originaire de Québec, Louis-Frédérique Jiasson reprend une maison familiale à St-Jean-Port-Joli dans le but de retrouver la vie de campagne. Renonçant à l'implantation Hydro-Québec sur son terrain, il travail à rendre son foyer autonome en énergie. Mécanicien de formation, Fred débute le projet avec deux batteries de << lift >> qui emmagasinent l’énergie générée par son l'éolienne fabriquée maison et ses plaques solaires. Par le biais du troc avec les gents du village et de plusieurs autres machines et pièces, il développe des méthodes innovantes pour s'auto-suffire. Il estime aujourd'hui son autonomie à environ 95%. Fred vie sur sa terre depuis maintenant 9 ans sans avoir utilisée les service de Hydro-Québec.
Lavoie Equipement et CLD ProMoule
Vidéo de ProMoule avec Mrs Guy Laurende Co-Propriétaire qui nous parle de son expérience dans l'entreprise avec le CLD.
Importation JL et le Garage GMP
Les propriétaires de l'entreprise Garage GMP nous expliquent comment le CLD L'Islet leur est venu en aide dans l'achat de leur entreprise.
Art Massif et Umano Medical
Découvrez la nouvelle génération de lits d'hôpitaux. Le lit de médecine et chirurgie étant l'un des plus bas de sa catégorie, sans compromettre les caractéristiques importantes, tel que la compatibilité avec les lèves-patients et les tables de lit, la position de Trendelenburg en une étape et le freinage centralisé.
L'Islet est une municipalité de la municipalité régionale de comté de L'Islet, au Québec, constituée le 1er janvier 2000. Elle est située dans la région administrative des Chaudière-Appalaches. L'Islet possède une superficie de 176,8 km² et une population d'environ 3 874 personnes.
Le territoire de l'actuelle municipalité de L'Islet prit forme, dès 1677, avec les anciennes seigneuries de L'Islet-Saint-Jean et de Bonsecours. Quatre municipalités se sont construites sur le territoire des deux seigneuries :
En 1855, peu de temps après l'abolition du régime seigneurial, la municipalité de Notre-Dame-de-Bonsecours se constitue sur le territoire des deux seigneuries ; en 1868, la municipalité de Saint-Eugène se constitue sur une partie des terres de la municipalité de Notre-Dame-de-Bonsecours; en 1911, le village de Bonsecours se constitue sur une partie des terres restantes de la municipalité de Notre-Dame-de-Bonsecours et en 1968, le village change de nom pour L'Islet-sur-Mer; En 1950, le village de L'Islet-Station se constitue sur une partie des terres restantes de la municipalité de Notre-Dame-de-Bonsecours; en 1954, le village de L'Islet-Station prend le nom de L'Isletville; en 1966, le village obtient le statut de ville sous le nom de ville de L'Islet.
Par la suite, les quatre municipalités se sont regroupées pour n'en former finalement qu'une : En 1981, une partie du territoire de Notre-Dame-de-Bonsecours est annexée à Saint-Eugène; en 1989, le reste du territoire de Notre-Dame-de-Bonsecours est annexé à L'Islet-sur-Mer; Le 1er janvier 2000, les municipalités de L'Islet-sur-Mer, de Saint-Eugène et la ville de l'Islet fusionnent pour constituer l'actuelle municipalité de L'Islet.
Attraits : Musée maritime du Québec.
Fondé en 1968, il est le plus important musée maritime du Québec et le propriétaire de la collection nationale maritime du Québec. Sa collection comprend une grande quantité d'artefacts et de documents reliés au domaine maritime et il possède aussi des navires historiques grandeur nature. Le musée cherche à protéger le patrimoine maritime qui lui a été confié ainsi qu'a le faire connaître auprès des visiteurs.
L’Ernest Lapointe et le HMCS Bras d'Or 400 au Musée maritime. Dans le pavillon principal du musée, les visiteurs peuvent découvrir plusieurs expositions sur le monde maritime. Une des particularités du musée est de rappeler le souvenir du capitaine Joseph-Elzéar Bernier, un marin originaire de l'Islet, qui a voyagé dans l'Arctique et y a « affirmé la souveraineté canadienne ». Dans le pavillon principal du musée, les visiteurs peuvent découvrir plusieurs expositions sur le monde maritime.
On peut aussi y visiter une chalouperie qui contient de nombreuses embarcations de petites tailles et qui avaient diverses utilités. Les visiteurs peuvent aussi voir dans le parc extérieur Hydro-Québec, deux navires grandeur nature, soit le brise-glace à la retraite NGCC Ernest Lapointe et le NCSM Bras d'Or 400, un hydroptère expérimental qui pouvait élever sa coque hors de l'eau pour diminuer le frottement et atteindre ainsi une plus grande vitesse.
L'Islet et son Musée Maritime du Québec
Vidéo de la présentation de la municipalité de l'Islet avec beaucoup d'explication.
Montez à bord du Musée maritime du Québec à L'Islet, la Patrie des marins ! Émerveillez-vous devant les trésors de l'Empress of Ireland ! Découvrez des chef-d’œuvres de charpenterie navale. Croisez le capitaine Bernier, navigateur et explorateur de l'Arctique ! Explorez les bateaux-musées : embarquez sur le brise-glace Ernest Lapointe et infiltrez-vous dans l'hydroptère Bras d'Or 400. Initiez-vous aux secrets de la construction navale et au génie des nœuds marins. Reposez-vous devant un film maritime. Profitez des aires de pique-nique et de jeux en bordure du fleuve.
Montez à bord du Musée maritime du Québec à L'Islet, la Patrie des marins ! Émerveillez-vous devant les trésors de l'Empress of Ireland ! Découvrez des chef-d’œuvres de charpenterie navale. Croisez le capitaine Bernier, navigateur et explorateur de l'Arctique ! Explorez les bateaux-musées : embarquez sur le brise-glace Ernest Lapointe et infiltrez-vous dans l'hydroptère Bras d'Or 400. Initiez-vous aux secrets de la construction navale et au génie des nœuds marins. Reposez-vous devant un film maritime. Profitez des aires de pique-nique et de jeux en bordure du fleuve.
Le cheval noir de l'Islet et l'Auberge du Passant
L'Auberge des Glacis est un trésor niché au creux d'un vaste domaine, entre le fleuve et la montagne. Une page d'histoire de la Côte-du-Sud est gravée sur les murs de pierres de cet ancien moulin seigneurial, datant de 1841. Dans une salle à manger chaleureuse, découvrez les saveurs uniques de la table gourmande concoctée avec les produits d'ici. La Montagnaise, le Chasseur, le Jardinier, le Clair de lune... laissez-vous charmer par l'une de nos 16 chambres au décor enchanteur avec salle de bain privée, dont deux suites romantiques Parcourez les sentiers aménagés dans notre parc de 5 hectares avec lac de baignade et belvédère.
Dans la verrière quatre-saisons, laissez-vous bercer par la mélodie de la Rivière Tortue... un bon livre à la main. L'Auberge des Glacis, c'est l'endroit idéal pour vous reposer, vivre un week-end romantique, célébrer un anniversaire ou un mariage, organiser une réunion d'affaires, un séminaire.
Les serres Caron
HMCS Bras d'Or et le Musée Maritime
Au Musée Maritime du Québec, L'Islet-sur-Mer en Septembre. Le NCSM Bras d'Or (FHE 400) était un hydroptère expérimental de la Marine royale canadienne conçu dans les années 1960 pour la détection de sous-marins soviétiques pouvant s'approcher des rives du Canada.
Le magazine La vie en région pour le blogue de la Côte-du-Sud rencontre le capitaine Louis-Michel Dusseault et le pilote Réginal Caron au Musée Maritime et nous pale de leur histoire.
Le magazine La vie en région pour le blogue de la Côte-du-Sud rencontre le capitaine Louis-Michel Dusseault et le pilote Réginal Caron au Musée Maritime et nous pale de leur histoire.
L'agriculture et l'acériculture sont les principales activités des lieux et ont surpassé l'exploitation forestière. Sur son territoire on retrouve de nombreux cours d'eau tels que: le lac des Plaines, le lac Bringé, le lac Isidore, le lac Vaseux, la rivière Bras-Saint-Nicolas, la rivière Bras-D'Apic, la rivière Bras-Riche, etc.
Le Snow Fête de Saint-Cyrille
Une entrevue avec quelques adeptes mordus du snowmobile lors du Snow Fête à Saint-Cyrille-de-Lessard.
Un SNO Jet de 1969 et un solo piano de grelots
Extraits solo du spectacle de Noël de Serge-André Jones "Le piano à grelots", filmé dans l'église de Saint-Cyrille-de-Lessard, le 7 décembre 2013.
En 1865 est établi le Canton d'Arago (en l'honneur de l'astronome et homme politique français François Arago (1786-1853). Les frères Pelletier, originaires du village proche de Saint-Cyrille, furent les premiers occupants des lieux. Parmi les premiers établissement du secteur, on compte une mission établie en 1882, qui sera élevée civilement en 1904 et canoniquement en 1924 comme la paroisse de "Saint-Marcel-de-l'Islet". La municipalité de Saint-Marcel est formée en 1956 sous le même nom.
Bien que les raisons exactes de l'appellation de la première mission ne soit pas connu, les sources indiquent qu'il fait selon toute probabilité ultimement référence à saint Marcel Ier, pape de 308 à 309, sous l'empereur romain Maxence. Parce que jadis certains habitants du village avaient pris l'habitude de porter de larges chapeaux tressés avec de la paille, les Marcellois ont reçu le surnom de Chapeaux de Paille.
Entre 1981 et 2001, la population de la municipalité s'est réduite de 18 %, affectée par la dénatalité et le vieillissement de la population.
Sentiers pédestres St-Marcel
Sainte-Félicité est une municipalité québécoise située dans la municipalité régionale de comté de L'Islet et la région administrative de Chaudière-Appalaches.
Sainte-Félicité est située à 160 km de Québec dans la portion nord-est de la région de Chaudière-Appalaches, dans le secteur "Côte-du-sud". C'est un village des montagnes appalachiennes, près de la frontière américaine, à mi-chemin entre Saint-Marcel et Sainte-Perpétue, au nord de Saint-Adalbert et de Saint-Pamphile.
L'exploitation forestière est la principale activité des lieux, l'agriculture ayant presque disparu. Cependant, dans la partie Ouest et Sud-ouest, on retrouve plusieurs carrières et sablières en exploitation. On y retrouve un paysage agroforestier typique de l'arrière-pays situé dans le rang Taché. Celui-ci, ouvert en 1845, est le plus vieil endroit de la paroisse avec son école de rang, des vieux bâtiments agricoles et une croix de chemin.
La municipalité elle-même a vu le jour récemment, créée en 1950, à partir du territoire de la paroisse du même nom érigée en 1945 par le curé Charles Dumais. Son nom lui a été donné à cause de sa proximité avec Sainte-Perpétue. En effet, sainte Perpétue, une dame noble, fut martyrisée avec sainte Félicité, une esclave chrétienne, sous les yeux de l'Empereur romain Septime Sévère à Carthage en l'an 203. L'écrivain de l'époque Tertullien a d'ailleurs écrit les Actes de Perpétue et Félicité.
Mais c'est en 1845, que le peuplement humain de cette vallée appalachienne eut lieu. Les premières familles à s'installer furent les Bois et les Gagnon dans le rang Taché. Ces familles étaient originaires de Saint-Jean-Port-Joli et de ses environs qui est appelé « Les Bas » dans le langage populaire des Félicitois. Ils quittèrent leur terres familiales pour aller se construire un nouveau royaume dans les montagnes car les terres agricoles de leurs régions natales ne leur étaient plus accessibles.
La terre appalachienne n'était pas une terre propice à l'agriculture. Avec l'ouverture de la route Elgin qui joint Saint-Jean-Port-Joli à la frontière américaine, un flot d'immigration s'empara des lots bordant le « Ch'min Taché ». De nombreuses familles vinrent rejoindre les quelques colons installés dans leur habitations de fortunes, la véritable naissance de Sainte-Félicité-de-L'Islet venait d'avoir lieu.
Une petite balade relax à Ste Félicité sur la grève et à l'église. Dans une zone sans risque,un vol à 20m de hauteur, loin des aéroports et du public.
Vidéo d'un montage photo représentant la nature et les paysages de Ste-Félicité.
La Nature de Ste-Félicité de l'Îlet
Et suite de la vidéo d'un montage de photo représentant la nature de Ste-Félicité.
Une expédition quotidienne sur les glaces le long du littoral du fleuve St-Laurent en Gaspésie à Ste-Félicité, pointe aux massacres.
Municipalité de Saint-Adalbert
Saint-Adalbert est situé dans le sud-est de la région de Chaudière-Appalaches, dans le secteur de la Côte-du-sud. Limitée au nord-est par la Grande Rivière Noire, elle est bornée à l’est et au sud par la frontière avec les États-Unis. Elle est située à mi-chemin entre Lac-Frontière et Saint-Pamphile, à environ 25 km de ces municipalités.
L’agriculture est la principale activité de la municipalité, dont le lin depuis 1976, qui fait d’ailleurs l’objet d’un festival depuis 1981, depuis quelques années ce festival n’existe plus. On retrouve à Saint-Adalbert l’un des ponts couverts du Québec, construit en 1943, et qui traverse la rivière Noire.
En 1863, un canton est proclamé sur le futur territoire de Saint-Adalbert, sous le nom de Canton de Casgrain. Ce nom faisait référence à Olivier-Eugène Casgrain (1812-1864), maître de la seigneurie de L’Islet-Saint-Jean en 1829. À partir de 1893, s’installent sur le territoire les premiers colons. En 1911, ce canton se joint à un canton voisin pour former les Cantons unis de Casgrain-et-Leverrier. Ce canton voisin, créé en 1868, tirait son nom de Louis-Guillaume Leverrier ou Verrier, qui occupait en 1728 la fonction de procureur du Conseil supérieur de la Nouvelle-France.
C’est en 1910 que la paroisse de Saint-Adalbert est créée sur le territoire actuel de la municipalité, à partir d’une partie de la paroisse de Saint-Pamphile, nom que reprendra la municipalité en 1956. Son nom est emprunté à l’abbé Adalbert Blanchet (1848-????), curé de Saint-Pamphile de 1880 à 1894 et l’un des fondateurs de la nouvelle paroisse. Lui-même tirait son nom de saint Adalbert (956-997), archevêque de Prague et martyr, aussi connu comme Saint Albert de Bohème, qui participa à la conversion des Magyars au christianisme à l’aube du millénaire. En 2010, elle a fêté son 100e anniversaire sous le thème «Viens fêter 100 ans de vie et d’histoire».
Histoire du restaurant Ô Sommet des Délices qui a été aider par la CLD rencontrer par Mme France Thibodeau la gérance du restaurant.
Saint-Pamphile est une ville du Québec, située dans la municipalité régionale de comté de L'Islet, dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. On compte, en 2005, 2804 individus sur une superficie totale de 136,8 km². Ce qui fait un ratio de 20,5 personnes/km².
À la frontière canado-américaine, Saint-Pamphile compte un poste de douane relié au Maine. Ville centrale des 7 paroisses environnantes, c'est à Saint-Pamphile que l'on retrouve, entre autres, le CLSC des Appalaches et l'école secondaire La Rencontre.
Histoire : Le premier colon à s'établir à Saint-Pamphile fut Monsieur Frédéric Vaillancourt, originaire de la municipalité de Saint-Aubert, en 1858. Malgré les terrains rocailleux, de nombreux colons vinrent tenter leur chance sur le territoire qui, en 1889, reçut officiellement le titre de municipalité de Saint-Pamphile. Il faudra toutefois attendre 1963 pour que Saint-Pamphile accède au statut légal de ville.
La principale activité économique de la région est la coupe de bois. On compte deux grandes entreprises de transformation de matières premières: Maibec et Matériaux Blanchet.
Tourisme : Le Festival du Bûcheux se tient toujours la dernière fin de semaine complète du mois d'août. Il met en valeur une multitude d'activités sportives rappelant la dominance de l'activité forestière dans la région. Ponctué de compétitions forestières, de spectacles en tous genres (humour, chansons, sport, danse...), ce rendez-vous annuel offre aux participants méchouis, pique-niques, tournois de golf, etc. L'événement attire en moyenne un peu plus de 25 000 visiteurs chaque année.
L'Odyssée Appalachienne rassemble un grand nombre de mushers à la mi-février pour une course peu ordinaire. Cette fois tout le comté de L'Islet-Sud est impliqué dans cet évènement. La plus longue des pistes totalise une distance de 200 kilomètres et parcourt les sept paroisses du comté. En plus des courses de traîneaux à chiens, l'activité met en vedette des compétitions de toutes sortes. Cet évènement annuel acquiert de la popularité d'année en année.
St-Pamphile et uneUne Course à traîneau
Visite de St-Pamphile. Une collaboration de Visiontrame (Marco Pelletier) et de ville St-Pamphile. Découvrez St-Pamphile durant toutes les saisons.
La Course à traîneau à St-Pamphile en 2011.
Festival du Bûcheux et la parade du festival
Parade du Festival du Bûcheux de Saint-Pamphile et de la danse Country.
Saint-Omer est une municipalité canadienne du Québec située dans la municipalité régionale de comté de L'Islet et la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l'honneur de l'évêque Audomar.
Vidéo d'une visite de St-Omer durant les saisons.
Municipalité de Sainte-Perpétue
Sainte-Perpétue est une municipalité du Québec, située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches et la municipalité régionale de comté de L'Islet. Elle est nommée en l'honneur de la martyre africaine sainte Perpétue.
La municipalité d'un peu moins de 2000 habitants est située à 34 km au sud de Saint-Jean-Port-Joli, sur la route 204 qui se rend à Saint-Pamphile. Fondé en 1869 par Narcisse Pelletier, le village possède une industrie forestière et acéricole. Il est aussi reconnu pour les attraits de son église.
Qu'est-ce qui peut bien pousser quelqu'un à courir dans une marre de bouette pour attraper un cochon beaucoup trop graissé? Les triplets Dumas nous expliquent pourquoi ils ont accepté de relever ce défi inusité.
Municipalité de Tourville
Tourville est une municipalité dans la municipalité régionale de comté de L'Islet au Québec, située dans la région administrative de Chaudière-Appalaches. La paroisse de St-Clément-de-Tourville a été érigée en 1919, mais on y habitait bien avant. Une route (la 204), encore parfois appelée route Elgin, fut construite entre 1854 à 1859, soit à l’époque du gouverneur Elgin, d’où son nom. Déjà, on y exploitait le bois, en particulier le pin. En 1856, un cultivateur de Saint-Roch-des-Aulnaies vint s'établir au lac Noir et creusa la décharge du lac pour faire baisser son niveau en vue d’en faire une prairie.
Pour l'hiver, il avait construit une pelle et faisait remonter le niveau d'eau du lac, préservant ainsi les jeunes repousses du gel. À cette époque, le lac était nommé le lac à Luther, qui deviendra plus connu par les anciens sous le nom de « lac à Pitoune », à la suite de la vente de la terre de Luther Morin à Charles Leclerc. Cette famille offrait repas et couchers aux voyageurs et appelait affectueusement la gouvernante "Pitoune". Plusieurs érablières y produisaient du sucre en 1858, et des moulins à scie étaient en construction sur le long des rivières Ouelle et Le Bras.
De 1905 à 1915, on construit une voie ferrée pour le Transcontinental qui traverse la future municipalité de Charny vers Edmundston. Deux hôtels y sont déjà construits pour héberger les voyageurs. Une usine de réparation de locomotives (Round House) est bâtie, en plus d'une chute à charbon, d'un réservoir d'eau et d’une gare au nom d'un ancien gouverneur général du Canada "Monk". L'usine de réparation sera fermée plus tard, soit en 1954 et, sera remplacée en 1958 par le moulin à scie de Napoléon Gagnon qui brûlera en 1972. La gare fut démolie en 1982 et les rails, ainsi que la route pour motoneiges et VTT, furent enlevées en 1986. (Réf. ISBN 2-9803702-0-7) La population est maintenant (2010) réduite à 697 habitants, pour une superficie de 161.51 km2.
En 1918, l'abbé Martin, curé de la paroisse voisine de Sainte perpétue, construit à la pointe sud de l'écluse du Lac Therrien, un chalet à deux étages pour pratiquer la pêche. Ce secteur connu alors sous le nom de Beaubien a donné du travail pour une soixantaine de personnes pour y faire la coupe du bois et la drave sur la rivière Le Bras et Ouelle. C'est en effet la Power Lumber, en 1923 qui s'y activait. Suivi en 1926 de la construction par la compagnie La Rivière Ouelle Lumber d'un moulin a scie fonctionnant à la vapeur pour transformer en bois d'œuvre les billots récoltés. En 1927 le CNR y construisit une voie d'évitement pour permettre le chargement du bois. Une vingtaine de familles vinrent s'installer sur les bords du lac. En 1928 une école y fut construite. Le Moulin du lac cessait ses activités en 1939.
Tourisme l'Islet vous invite à venir voir l'hiver et profiter de découvrire les nombreux sentiers de motoneige au coeur de la Côte-du-Sud dans les Appalaches. Vidéo Visiontrame.
Mr. Nournand Blier vice-président du Centre Sportif Le Jasmin de Tourville nous rencontre son histoire.
Municipalité de Saint-Damase-de-L'Islet
Saint-Damase-de-L'Islet est une municipalité canadienne du Québec située dans la municipalité régionale de comté de L'Islet et la région administrative de Chaudière-Appalaches. Elle est nommée en l'honneur du Pape Damase Ier et du pionnier Damase Ouellet (1826-1908). Au recensement de 2006, on y a dénombré 593 habitants.
Bien que le territoire de Saint-Damase-de-l'Islet ait fait partie du territoire de l'ancienne seigneurie des Aulnaies à l'époque de la Nouvelle-France, son nom actuel rappelle la seigneurie voisine de l'Islet, concédée en 1677 à Geneviève Couillard (1660-1720) par Frontenac, gouverneur général de la Nouvelle-France. Le nom provient de îlet, soit "rocher entouré d'eau" ou "petite île". En 1880, y est fondé une mission catholique nommée Mission du Cinquième-Rang, qui deviendra Saint-Damase-des-Aulnaies en 1889, lors de la fondation de la paroisse, dont l'érection canonique aura lieu en 1924. Damase Ouellet (1826-1908) fut en effet l'un des pionniers de la région. Son frère, Pierre Ouellet (1827-1922) avait offert le gîte au prêtre local pour y célébrer la messe entre 1880 à 1885. Le nom de Damase fut cependant préféré puisqu'il était l'aîné et qu'un village voisin se nommait déjà Saint-Pierre-de-la-rivière-du-sud.
Saint-Damase-des-Aulnaies, lorsqu'elle fut formée en municipalité en 1898, prit le nom de "Municipalité du canton d'Ashford", rappelant ainsi le nom d'une ville britannique. En 1955, le nom de la municipalité fut changé pour celui de Saint-Damase-de-l'Islet afin à la fois de rappeler l'histoire de la paroisse et l'appartenance à la MRC de l'Islet.
Comme de nombreux villages et villes québécoises, Saint-Damase-de-l'Islet a son festival local: on y célèbre aujourd'hui annuellement un festival du poulet.
Vidéo de démolition au festival du poulet à Saint-Damase le #80 fini en 3e position dans la final des 4 cylindres.
Les activités principales sont l'agriculture et l'acériculture. La villégiature est également une activité importante puisqu'on y retrouve un important camp de vacances nommé le Camp Trois-Saumons fondé en 1947 sur les berges du Lac Trois-Saumons.
La Fête des Cailloux et la Chorégraphe du Lekkerbekkie
Lekkerbekkie, chorégraphe: Géraldine dela France. Enseignez au Festival des Cailloux à Saint-Aubert, Québec le 22-06-2013 par Linda Sansoucy. Je remercie Dany Geneston de m'avoir fait connaître cette danse lors d'un bal country à Meyras en France.
Saint-Jean-Port-Joli est une municipalité du Québec située dans la MRC de L'Islet dans la Chaudière-Appalaches. Le décret de population 2012 y dénombre 3 393 habitants
Histoire : La seigneurie de Port-Joly, d'où provient le nom du village, fut établie en 1677. La paroisse de saint-Jean-Port-Joli fut érigée canoniquement en 1721. L'église, construite à partir de 1779, est d'une architecture remarquable et abrite de nombreuses sculptures. La municipalité de Port-Joli fut créée en 1845 et devint partie de la municipalité de comté en 1847. La municipalité de paroisse de Saint-Jean-Port-Joli fut établie en 1855 et fut scindée en 1857 en les municipalités de Saint-Jean-Port-Joli et de Saint-Aubert.
Tout comme les autres villages de la Côte du sud entre Rivière-Ouelle et Beaumont, toutes les maisons (sauf de très rares exceptions) furent brûlées durant la Conquête en 1759 par le régiment des Fraser Highlanders sur les ordres du général britannique James Wolfe. Toutefois le village se releva graduellement.
Attraits touristiques : Avec sa population de 3 393 habitants, cette localité est aujourd'hui un rendez-vous touristique d'importance dans la région, principalement à cause de la présence de nombreux artisans sculpteurs sur bois et de plusieurs évènements culturels. Le village abrite aussi une marina, sur le site de l'ancien quai.
Le village a été nommée capitale culturelle du Canada en 2005 et la vie culturelle y est toujours très active, entre autres à travers quatre festivals.
L'International de sculpture : Ce festival présente depuis 1994 le symposium international de sculpture sur bois en taille directe, qui accueille pendant onze jours des sculpteurs professionnels du Québec, du Canada et de l'étranger, qui réalisent, devant le public, une œuvre originale. Le symposium 2007 a sélectionné sept artistes parmi 106 projets. La plupart des œuvres réalisées s’ajoutent à la collection permanente d'une galerie à ciel ouvert, comptant maintenant plus de 90 sculptures, qui peut être visitée en tout temps sur les berges du Saint-Laurent. Le festival s'accompagne d'ateliers d'initiation à la sculpture, de conférences des artistes, d'expositions d'œuvres et de démonstrations de sculpture sur bois régionale et de sculpture sur sable.
La Fête des chants de marins : Cette fête souligne les différents aspects de l'héritage maritime, les légendes, les chants de la mer. Elle propose aussi un menu gastronomique basé sur les produits de la mer ainsi qu'ateliers, concours littéraire, course de voiliers, marché portuaire, films et expositions.
Les violons d'automne : Festival de musique centré sur le violon, qui présente de la musique jazz, blues, classique, populaire, traditionnelle, boogie-woogie, gitane, swing, musette, celtique, contemporaine, musique du monde.
La fête d'hiver : Présente de la sculpture sur neige, avec volets professionnel et relève.
L'évènement s'accompagne d'activités culturelles et sportives et des spectacles.
Saint-Jean-Port-Joli
Village touristique incontournable, Saint-Jean-Port-Joli occupe une place bien à lui dans le paysage culturel québécois. Authentique mecque de la sculpture, elle témoigne du travail de trois pionniers qui ont mis ce pittoresque village sur la carte touristique du Québec dans les années trente : Médard Bourgault (sculpture), Émilie Chamard (tissage) et Eugène Leclerc (bateaux miniatures). Situé en bordure du fleuve Saint-Laurent, près de la marina, le village se découvre sans hâte au gré des ateliers, galeries, musées et parcs qui témoignent de la place prédominante qu'occupent toujours la sculpture et les métiers d'art. Les trésors, petits et grands, se révèlent aux visiteurs, tel que l'église construite en 1779. L'hébergement et la gastronomie y sont également bien représentés. Vous n'aurez aucun mal à trouver des restaurants, gîtes et auberges sympathiques.
Visité durant toutes les saisons de St-Jean-Port-Joli.
Balade en paramoteur et St-Jean-Port-Joli
Un vol au-dessus de la belle région de St-Jean-Port-Joli. Pour les observateurs, vous verrez aussi des chevreuils. Bon visionnement !
St-Jean-Port-Joli au quai et au Parc des Trois Bérêts où passe de très bons moment se à la Biennale de sculpture 2012. Quelques photos de l'intrigante sculpture de Giorgia Volpe et de la performance audiovisuelle de Popcore, en soirée que tous, petits, ados, adultes,3e et 4e âge ont adoré...
Les œuvres de Saulnier, Drouillard, Audet, Bernard et les autres étaient toutes très intéressantes mais c'est celle de Giorgia Volpe qui était en cours de réalisation à l'extérieur, lors de notre passage. Riche en symboles des quatre éléments,
" Hospedeira " était composée de " *balais de sorcière " agglomérés en une gigantesque boule suspendue dans l'espace. Elle devait être brûlée sur l'eau du fleuve.
*Les balais de sorcière sont des excroissances des arbres causées par un champignon parasite sur certaines branches HÔTES de feuillus ou de conifères.
Mr. Jean Louis Chouinard le président du Musée Mémoire vivante nous rencontre l'histoire de la reconstruction du musée.
Le Musée de la mémoire vivante présente différentes expositions et activités conçues pour se souvenir... Ce haut lieu de la mémoire se découvre au fil d'expositions recélant des témoignages, des anecdotes et des récits de vie. Le musée est animé par des gens comme vous qui ont raconté leurs souvenirs pour que soit conservée l'histoire de tous les jours.
Cette institution muséale moderne au concept participatif est aménagée sur le site historique du manoir seigneurial de Saint-Jean-Port-Joli où a vécu Philippe Aubert de Gaspé, le célèbre auteur du roman « Les anciens Canadiens » et de « Mémoires ».
Musée de la mémoire vivante et des Anciens Canadiens
Imprégnez-vous de patrimoine immatériel par le biais des expositions et de la collection de témoignages du musée. Des pratiques, des savoirs et des épisodes de vie vous sont racontés par ceux-là mêmes qui les ont vécus. Seul ou en famille découvrez une nouvelle muséologie, un espace où chaque personne est porteuse d'histoire. Le visiteur peut devenir le héros des lieux en enregistrant ses propres souvenirs, en partageant ses connaissances pour les générations présentes et futures. Le musée est érigé sur les lieux où vécut Philippe Aubert de Gaspé et qui lui ont inspiré Les anciens Canadiens et la rédaction de ses Mémoires. Ce site porte les traces de près de 300 ans d'habitation. Un fournil, un caveau à légumes et le tracé au sol des fondations du second manoir des Aubert de Gaspé y sont interprétés. Des aires de piquenique, un belvédère, des sentiers, les berges du fleuve et un jardin en élaboration sont à visiter.
Le plus grand centre d'interprétation et le plus prestigieux musée de la sculpture sur bois en Amérique. Vivez l'histoire de la sculpture et des métiers d'art avec plus de 250 oeuvres remarquables d'artistes reconnus : les frères Bourgault, P. « Clout » Cloutier, les bateaux Leclerc, et les oeuvres extraordinaires d'artistes de la nouvelle vague. Vous découvrirez pourquoi ce village est la capitale de l'artisanat. Exposition rendant hommage à Norman Rockwell. Personnages grandeur nature : René Lévesque, P.-E. Trudeau, Harry Potter, Félix Leclerc et Jean Béliveau. Nouveautés : les Beatles et la Joconde. Sculpteur à l'oeuvre. Vaste boutique. Gagnant des Grands Prix du tourisme québécois en 2006.
Le musée de moto et la Fête d'hiver de Saint-Jean-Port-Joli
Bienvenue dans le plus extraordinaire musée de moto au Canada! Découvrez une épopée de plus d'un siècle constituée de mécaniques magnifiques et d'aventures humaines. Objet de convoitise, mécanique rutilante ou rudimentaire, invitation au voyage ou à la romance, outil de l'exploit sportif ou du travailleur, la moto est tout cela et se raconte pour votre plus grand plaisir! Plus de 100 motos exposées, 50 marques différentes provenant des divers continents, 3 salles d'exposition, 1 salle de projection. Pour toute la famille.
Images prises lors de l'édition 2013 de la Fête d'hiver de Saint-Jean-Port-Joli.
Le Moule à Sucre et au Vignoble du Faubourg
Vidéo explicative de le Moule à Sucre à Salut Bonjour TVA.
Originaire de Québec, Louis-Frédérique Jiasson reprend une maison familiale à St-Jean-Port-Joli dans le but de retrouver la vie de campagne. Renonçant à l'implantation d'Hydro-Québec sur son terrain, il travaille à rendre son foyer autonome en énergie. Mécanicien de formation, Fred débute le projet avec deux batteries de « lift » qui emmagasinent l'énergie générée par son éolienne fabriquée maison et ses plaques solaires. Par le biais du troc avec les gens du village et de plusieurs autres machines et pièces, il développe des méthodes innovantes pour s'auto-suffire. Il estime aujourd'hui son autonomie énergétique à environ 95%. Fred vit sur sa terre depuis maintenant 8 ans sans jamais avoir utilisé les services d'Hydro-Québec.
Saint-Roch-des-Aulnaies est une municipalité de paroisse du Québec de la municipalité régionale de comté de L'Islet et de la région administrative de Chaudière-Appalaches.
C'est vers 1680 que le territoire de Saint-Roch-des-Aulnaies s'ouvre à la colonisation avec l'établissement de quelques familles dans la seigneurie de la Grande-Anse ou de Saint-Roch-des-Aulnaies ou encore des Aulnets, concédée en 1656 à Nicolas Juchereau de Saint-Denis (1627-1692), par Jean de Lauson.
L'appellation « Les Aulnets » rappelle l'omniprésence d'aulnes le long de la rivière Ferrée qui traverse la localité. Roch de Montpellier fut confesseur dans le sud de la France et il est devenu le patron des cardeurs, étant honoré le 16 août.
La paroisse de Saint-Roch-des-Aulnets fut érigée canoniquement et civilement en 1722. Sa dénomination, attestée pour la première fois en 1721, a été transmise à la municipalité créée en 1845, abolie en 1847 et rétablie en 1855. La forme Aulnets, a été modifiée dans l'usage écrit.
Patrimoine : Le domaine seigneurial des Aulnaies, classé monument historique en 1965,
La chapelle de procession Notre-Dame-de-Lourdes Classée monument historique, cette chapelle en pierre fut probablement érigé en 1792. La chapelle de procession Notre-Dame-de-Lourdes est située en bordure de l'ancien chemin du Roy, à l'extrémité est du noyau villageois. Reliées au culte catholique, les chapelles de procession constituent une manifestation privilégiée de la religion populaire québécoise. Elles servent notamment de lieux de rassemblement pour les paroissiens et de reposoirs lors des processions, comme celle de la Fête-Dieu, pratique religieuse importante au Québec jusqu'au milieu du xxe siècle. Construites par paire de part et d'autre de l'église, les chapelles de procession délimitent l'espace villageois. Elles constituent des repères visuels qui marquent l'entrée et la sortie des villages dans la vallée du Saint-Laurent et participent à la sacralisation du paysage québécois.
Cette chapelle constitue un bon exemple de la persistance de l'influence française dans l'architecture religieuse du Québec au-delà de la Conquête de 1760, qui se matérialise dans la nef de plan rectangulaire terminée par une abside en hémicycle et le toit à pignon surmonté d'un petit clocher sur le faîte en façade. L'intérieur, avec son décor sobre, s'inscrit également dans la tradition française.
Le moulin banal des Aulnaies, classé monument historique depuis 1977, est un moulin à eau conçu pour moudre la farine. Construit en 1842, ce bâtiment industriel en pierre, de trois étages et demi, est coiffé d'un toit à deux versants droits aux larmiers courts. Il est situé à la jonction de la route de la Seigneurie et de la route 132, au cœur de la municipalité, et est adossé contre une dénivellation longeant la rivière Le Bras. Il voisine le domaine seigneurial des Aulnaies.
Chaque niveau du moulin remplit une fonction particulière liée à la production de la farine. Le premier niveau, où sont livrés les sacs de blé, accueille les mécanismes de transmission de l'énergie; le deuxième loge les mécanismes qui transforment le grain, dont les meules de pierre et le bluteau qui partage la mouture en diverses qualités de farine; le troisième renferme le crible-tarare et sert aux transactions.
Ce moulin est un précieux témoin du régime seigneurial. L'appellation « moulin banal » tire son origine de l'obligation faite aux seigneurs de construire un moulin à farine pour leurs censitaires, qui doivent y faire moudre leur grain et payer en retour un droit de mouture, nommé droit de banalité. Le moulin a donc toujours eu une fonction socio-économique importante dans les seigneuries. Le marchand Amable Dionne (1781-1852), qui avait acheté la seigneurie en 1837, construit le moulin actuel en 1842, sur l'emplacement de deux anciens moulins, le premier bâti en 1738 et le second en 1789.
Depuis les années 1980, le moulin est aménagé en centre d'interprétation sur le régime seigneurial. On produit encore aujourd'hui à La Seigneurie des Aulnaies de la farine artisanale, biologique, à partir de la roue à godets du moulin banal.
C'est vers 1680 que le territoire de Saint-Roch-des-Aulnaies s'ouvre à la colonisation avec l'établissement de quelques familles dans la seigneurie de la Grande-Anse ou de Saint-Roch-des-Aulnaies ou encore des Aulnets, concédée en 1656 à Nicolas Juchereau de Saint-Denis (1627-1692), par Jean de Lauson.
L'appellation « Les Aulnets » rappelle l'omniprésence d'aulnes le long de la rivière Ferrée qui traverse la localité. Roch de Montpellier fut confesseur dans le sud de la France et il est devenu le patron des cardeurs, étant honoré le 16 août.
La paroisse de Saint-Roch-des-Aulnets fut érigée canoniquement et civilement en 1722. Sa dénomination, attestée pour la première fois en 1721, a été transmise à la municipalité créée en 1845, abolie en 1847 et rétablie en 1855. La forme Aulnets, a été modifiée dans l'usage écrit.
Patrimoine : Le domaine seigneurial des Aulnaies, classé monument historique en 1965,
La chapelle de procession Notre-Dame-de-Lourdes Classée monument historique, cette chapelle en pierre fut probablement érigé en 1792. La chapelle de procession Notre-Dame-de-Lourdes est située en bordure de l'ancien chemin du Roy, à l'extrémité est du noyau villageois. Reliées au culte catholique, les chapelles de procession constituent une manifestation privilégiée de la religion populaire québécoise. Elles servent notamment de lieux de rassemblement pour les paroissiens et de reposoirs lors des processions, comme celle de la Fête-Dieu, pratique religieuse importante au Québec jusqu'au milieu du xxe siècle. Construites par paire de part et d'autre de l'église, les chapelles de procession délimitent l'espace villageois. Elles constituent des repères visuels qui marquent l'entrée et la sortie des villages dans la vallée du Saint-Laurent et participent à la sacralisation du paysage québécois.
Cette chapelle constitue un bon exemple de la persistance de l'influence française dans l'architecture religieuse du Québec au-delà de la Conquête de 1760, qui se matérialise dans la nef de plan rectangulaire terminée par une abside en hémicycle et le toit à pignon surmonté d'un petit clocher sur le faîte en façade. L'intérieur, avec son décor sobre, s'inscrit également dans la tradition française.
Le moulin banal des Aulnaies, classé monument historique depuis 1977, est un moulin à eau conçu pour moudre la farine. Construit en 1842, ce bâtiment industriel en pierre, de trois étages et demi, est coiffé d'un toit à deux versants droits aux larmiers courts. Il est situé à la jonction de la route de la Seigneurie et de la route 132, au cœur de la municipalité, et est adossé contre une dénivellation longeant la rivière Le Bras. Il voisine le domaine seigneurial des Aulnaies.
Chaque niveau du moulin remplit une fonction particulière liée à la production de la farine. Le premier niveau, où sont livrés les sacs de blé, accueille les mécanismes de transmission de l'énergie; le deuxième loge les mécanismes qui transforment le grain, dont les meules de pierre et le bluteau qui partage la mouture en diverses qualités de farine; le troisième renferme le crible-tarare et sert aux transactions.
Ce moulin est un précieux témoin du régime seigneurial. L'appellation « moulin banal » tire son origine de l'obligation faite aux seigneurs de construire un moulin à farine pour leurs censitaires, qui doivent y faire moudre leur grain et payer en retour un droit de mouture, nommé droit de banalité. Le moulin a donc toujours eu une fonction socio-économique importante dans les seigneuries. Le marchand Amable Dionne (1781-1852), qui avait acheté la seigneurie en 1837, construit le moulin actuel en 1842, sur l'emplacement de deux anciens moulins, le premier bâti en 1738 et le second en 1789.
Depuis les années 1980, le moulin est aménagé en centre d'interprétation sur le régime seigneurial. On produit encore aujourd'hui à La Seigneurie des Aulnaies de la farine artisanale, biologique, à partir de la roue à godets du moulin banal.
La Seigneurie des Aulnaies et la Meunerie de la Seigneurie
En compagnie de personnages d'époque, visitez le manoir de style victorien (1853) aux somptueux intérieurs. Dans le moulin banal (1842), la plus grande roue à godet en activité au Québec est un impressionnant spectacle en soi. Avec les meuniers, apprenez les méthodes de fabrication artisanale des farines biologiques moulues sur pierre. En sentier, parcourez les jardins anciens, la roseraie d'inspiration historique et la majestueuse pinède. Aux abords d'une rivière bucolique, profitez de la boulangerie et du resto-terrasse Le Clapotis. Possibilité de réservation pour les groupes.
Le domaine seigneurial des Aulnaies, classé monument historique en 1965, a été aménagé au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. On y trouve un manoir seigneurial en bois de style Regency, implanté au milieu d'un vaste terrain paysagé de 6,9 hectares.
La valeur patrimoniale du domaine seigneurial des Aulnaies repose sur sa représentativité en tant que témoin exceptionnel du régime seigneurial. Situé sur une concession accordée en 1656 à Nicolas Juchereau (vers 1627-1692), il évoque le régime seigneurial par son emplacement au cœur de la municipalité, à proximité du moulin banal et de l'ancien chemin du Roy. Il rappelle plus particulièrement le contexte qui caractérise la fin de ce régime (1854). Au xixe siècle, de riches notables, tel Amable Dionne (1781-1852) qui acquiert la seigneurie en 1837, achètent de vastes propriétés. Leurs domaines, constitués d'une résidence luxueuse, de dépendances et de terrains aménagés, sont conçus dans l'esprit du courant pittoresque. Le manoir seigneurial des Aulnaies est situé sur un plateau surplombant le paysage et s'intègre dans un aménagement paysager qui reflète l'ouverture sur la nature propre à ce courant.
Le manoir est attribué au célèbre architecte Charles-Philippe-Ferdinand Baillairgé (1826-1906). Le plan en U formé par le corps principal et les tourelles en façade s'inspire des châteaux français, tandis que l'ornementation puise dans les modèles néo-grecs et néo-égyptiens. Le style Regency est illustré par la volumétrie du bâtiment - un rectangle à un étage couvert d'un toit à quatre versants avec avant-toits - et la large galerie qui le ceinture. À l'intérieur, le manoir compte un grand nombre de pièces disposées symétriquement, de part et d'autre d'un hall central, à l'instar de nombreuses résidences bourgeoises.
Le seigneur Amable Dionne (1781-1852), qui initie la construction du manoir, est aussi un homme politique important qui siégera à la Chambre d'assemblée du Bas-Canada comme député de Kamouraska et signera les 92 résolutions déposées en 1834. Vers la fin de sa vie, ce riche commerçant est l'homme le plus influent et respecté de la Côte-du-Sud.
La pratique de moulage du blé à la Seigneurie des Aulnaies est aujourd'hui une partie de l'interprétation de la vie seigneuriale qui s'est déroulée sur le site au milieu du XVIIIe siècle. On y démontre notamment le fonctionnement de la monture sur pierre au moyen de l'une des plus grandes roues à godets en activité au Québec.
Un reportage sur La Seigneurie des Aulnaies pour l'aide du CLD dans l'amélioration du site de la Seigneurie.
Vidéo de la descente de la statue de l'Église de Saint-Roch-des-aulnaies.
Fête du pain St-Roch-des-Aulnaies
La 2e édition de La Fête du Pain se déroulera le samedi 6 et le dimanche 7 septembre prochains au domaine champêtre de la Seigneurie des Aulnaies. L’art boulanger est à l’honneur avec des artisans boulangers en démonstration, des ateliers pour le public, des conférences, des dégustations et plus encore! Le pain, ses produits dérivés et votre gourmandise seront au centre de l’attention pour deux jours de festivités gourmandes qui lèvent!
La Fête du Pain remporte le Prix du Patrimoine 2015 dans la catégorie Interprétation et diffusion, un honneur pour événement et pour La Seigneurie des Aulnaies.
Vous pouvez passer à une autre région ou MRCs
- Le Québec
- Région de Capital-National
- Région de la Côte-Nord
- Région du Saguenay-Lac-Saint-Jean
- Région Chaudière Appalaches
- MRC de Lotbinière
- MRC de Lotbinière suite
- MRC des Appalaches
- MRC de La Nouvelle-Beauce
- MRC de Beauce-Sartigan
- MRC de Robert-Cliche
- MRC des Lacs Etchemins
- MRC de Bellechasse
- Ville de Lévis
- MRC de Montmagny
- MRC de Montmagny suite
- MRC de L'Islet Lieu que vous venez de voir
- Région-du-Bas-Saint-Laurent
- Autre Lieu à venir
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